On
se sent mal parmi les gens, il est inutile de le nier. Ils ne
s'intéressent à rien de ce qui nous importe. Ça irait sans doute mieux
si l'autrui lévinassien se préoccupait du tathâta — qui, faut-il le
rappeler, désigne chez les bouddhistes la véritable nature de la réalité
à un moment donné. Devrait-on aller vivre en Inde, au Thibet, au Népal
ou au nez rouge ? Pour se sentir moins seul ?
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)
Le grand mystère est : quel est votre vrai nom ? Êtes-vous constamment exilé de votre véritable patronyme ? J'ai trois ou quatre de vos recueils sur mes courtes étagères, et je ne sais à quel pseudonyme faire confiance…
RépondreSupprimer(Et puis aussi : pourquoi n'avez-vous pas un véritable éditeur ? Car vous le mériteriez largement, tout comme un Jérôme Vallet (“Georges de la Fuly”) par exemple. Mais il est vrai qu'en 2023, je ne sais pas s'il reste beaucoup d'honneur à être publié sur papier par un autre…)
Merci, c'est très aimable à vous.
SupprimerMon véritable nom est facile à trouver, mais comme vous dites, je me suis exilé de mon patronyme. Comme ce ne sont pas de véritables livres, ils n'ont pas de véritable auteur non plus. Quant aux éditeurs etc... Je ne crois pas que ça me plairait. Le monde des "écrivains"...
Toute la sphère culturelle a été brillamment exécutée par Michel Fau il y a peu : https://www.causeur.fr/michel-fau-un-grand-artiste-nest-ni-de-droite-ni-de-gauche-265092
SupprimerFaites-moi signe si l'entretien entier vous intéresse.
Ah, merci, je veux bien. Le début me plaît beaucoup.
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