Pour échapper
à l'opprobre de n'avoir rien lu de Maurice Nédoncelle, il suffirait de
lire l'un quelconque de ses livres. Mais on est lâche, on remet au
lendemain... Et après cinquante ans d'une vie de patachon, on n'a
toujours rien lu de Maurice Nédoncelle.
(Fernand Delaunay, Glomérules)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire