À
propos du meurtre d'Éliane Rigaux, 74 ans, par son mari Georges, 83
ans, suivi du suicide de ce dernier, le parquet de Senlis précise qu'il
n'existe aucun lien entre les défunts et le dadaïste Jacques Rigaut,
auteur de l'Agence Générale du Suicide et lui-même suicidé, « ça ne
s'écrit d'ailleurs pas pareil ». Le fin mot de l'histoire paraît être que
l'homme ne supportait plus d'entendre son épouse dire biftèque.
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)