À
l'instar de Cioran, l'homme du nihil méprise et exècre le « saltimbanque » Cocteau. Il n'a jamais pu souffrir les gens qui font des
astuces. Hélas ! Il est impossible d'infliger à cet horripilant
personnage le châtiment qu'il mérite puisqu'il est, comme on dit, « décédé ». Alors pour se venger quand même, l'homme du nihil orthographie
son nom Coqueteau ou même Coquetier.
(Fernand Delaunay, Glomérules)