Comme si
l'haeccéité, la temporalité du temps, la mortalité de l'être mortel ne
suffisaient pas à son malheur, l'homme du nihil habite encore dans des « territoires » situés dans la « France périphérique » et est un « perdant de
la mondialisation » (comme l'écrivain portugais Fernando Pessoa, for
that matter).
(Fernand Delaunay, Glomérules)
(Fernand Delaunay, Glomérules)