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samedi 16 décembre 2023

Commotion du mal-aimé

 

À force de parler dans ses poëmes de vagues de briques, Guillaume Apollinaire a fini par s'en prendre une sur le cassis. Il a fallu lui bander la tête.
 
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

lundi 18 septembre 2023

Magie de la poésie

 

Les poëmes, ça va quand on est bien disposé, mais quand on est d'humeur caustique c'est une autre histoire. Tout vous paraît alors d'un niais... Ainsi, Apollinaire avec son pharaon et ses vagues de briques. Carre-les-toi dans le fiak, tes vagues de briques, hé, pot de pisse !
 
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

mercredi 26 avril 2023

Une angoissante traversée

 

Traverser le pont Mirabeau, il y a de quoi avoir le traczir. Pour peu que vienne la nuit et que sonne l'heure, nous voilà frais.
 
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)

lundi 24 avril 2023

Sur le mariage d'André Salmon

 

Dans son Poëme lu au mariage d'André Salmon, Guillaume Appolinaire exhorte l'étant existant à se réjouir parce que, dit-il, « l'amour veut qu'aujourd'hui mon ami André Salmon se marie ». Seulement voilà, l'étant existant s'en tamponne le coquillard, du mariage d'André Salmon. Il a d'autres soucis, l'étant existant — à commencer par sa propre mortalité. Alors au cul, André Salmon ! Au cul, le mariage d'André Salmon ! Merde alors !
 
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)

mercredi 13 octobre 2021

Plus beau des arts

 

« Homicide de soi-même ! Le plus beau des arts ! Dix grammes de taupicide (en une seule prise), et nous voilà tout proches de la divinité. » (Guillaume Apollinaire, La Femme assise)

(Fernand Delaunay, Glomérules)