Selon Gragerfis, si l'homme du nihil
emploie quelquefois, pour dire le Rien, des mots grecs ou latins —
mêdén, nihil —, c'est que sa petite enfance a été imprégnée du
polyglottisme levantin durant les grandes vacances qu'il a passées à
Smyrne.
(Lucien Pellepan, Énantioses profectives)