Affichage des articles dont le libellé est Macrobe. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Macrobe. Afficher tous les articles

lundi 21 octobre 2024

Cervelle de l'univers

 

Macrobe dit (Somnium Scipionis, chap. 14 et 20) que le soleil est la cervelle de l'univers. Mais on sait qu'il avait la réputation d'être un « gros déconneur ». Il ne faut pas prendre tout ce qu'il dit au pied de la lettre.
 
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)

mercredi 29 mai 2024

All is of no avail

 

Macrobe raconte que Pythagore, passant près de l'échoppe d'un forgeron, remarqua que le bruit produit par les marteaux était ou plus grave ou plus aigu suivant leur poids. Rentré chez lui, il réfléchit à cette question et, après un moment, parvint à la conclusion que cela n'avait pas d'importance puisqu'on allait tous mourir de toute façon.
 
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)

lundi 27 mai 2024

Force majeure

 

Plotin a sur l'homicide de soi-même une doctrine moins intransigeante que celle de Porphyre et de Macrobe. Il admet que le sage peut se donner volontairement la mort en cas de nécessité absolue, par exemple pour échapper aux incessantes persécutions d'une « mégère difforme au faciès d'hippopotame » et de son amant « garagiste de La Bourboule ».
 
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)

mardi 16 avril 2024

Mysophobie


En lisant ses Saturnales, on comprend que l'écrivain Macrobe avait une peur terrible des virus et des bacilles. Il se lavait très souvent les mains.
 
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)

samedi 6 avril 2019

Force majeure


12 avril. — Plotin a sur l'homicide de soi-même une doctrine moins intransigeante que celle de Porphyre et de Macrobe. Il admet que le sage peut se donner volontairement la mort en cas de nécessité absolue, par exemple pour échapper à la folie ou aux souffrances intolérables dues à l'haeccéité.

(Barzelus Foukizarian, Journal ontologique critique)

dimanche 3 mars 2019

Cervelle de l'univers


16 février. — Macrobe dit (Somnium Scipionis, chap. 14 et 20) que le soleil est la cervelle de l'univers, et que c'est par analogie que dans l'homme le crâne est rond, comme l'astre siège de l'intelligence.

(Barzelus Foukizarian, Journal ontologique critique)