Dans la
vie, tout n'est pas à jeter. Il y a ces merveilleux moments où l'on
dort, les seuls où l'on échappe à l'emprise du « fétide et rébarbatif
réel ». Pourquoi s'éveiller, alors ? Pour la même raison qui pousse le
fou à se taper la tête contre les murs : parce que ça fait du bien quand
ça s'arrête.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)