Vu la
façon dont les choses se goupillent dans ce « monde de néant », il serait
peut-être sage de ne s'attacher à rien, quitte à trouver le temps long.
En tout cas, à rien de vivant. Car n'importe la créature à laquelle vous
vous attacherez — fût-ce un simple perroquet —, on vous la prendra
tôt ou tard. La mort, la mort, la mort, la mort !
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)