Affichage des articles dont le libellé est Barthes Roland. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Barthes Roland. Afficher tous les articles

lundi 21 octobre 2024

Un stakhanoviste de la sémiologie

 

« C'est un travail de titan que Barthes abat, dans la rue des Martyrs. » (Tzvetan Todorov, Critique de la critique)
 
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)

jeudi 1 février 2024

Avec le bifteck-frites

 

Le nihilique a tellement marqué son époque, avec son infini infundibuliforme, son pachynihil et sa devise « rien n'est », qu'il mériterait d'être dans les Mythologies de Barthes, aux côtés de Minou Drouet, du bifteck-frites et de l'abbé Pierre.
 
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

jeudi 18 janvier 2024

Invocation des Anciens

 

Comme les Modernes (Foucault, Deleuze, Lacan, Barthes, Derrida, etc.) nous fatiguent, on se tourne vers les Anciens. Seulement, pour invoquer les Anciens, il faut d'abord se rendre à l'Université de Miskatonic afin de consulter le hideux Necronomicon de l'Arabe dément Abdul Alhazred, dans la traduction latine d'Olaus Wormius imprimée en Espagne au XVIIe siècle (la version anglaise du docteur Dee, indigente et incomplète, ne permet pas d'efficaces invocations). Comme dirait le dessinateur Sempé, rien n'est simple et tout se complique !
 
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

lundi 18 septembre 2023

Golmon

 

Maurice Blanchot passe pour un homme grave et même austère, mais il paraît que dès qu'il était seul, il se lâchait et faisait le « golmon ». D'après Roland Barthes, il est arrivé plus d'une fois que Georges Bataille ou Pierre Klossowski se présentent chez lui alors qu'il faisait le « golmon » et lui disent : « Alors Maurice ? On fait le golmon ? »
 
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)

dimanche 13 novembre 2022

À bas Barthes

 

L'idée du Rien mérite mieux que les singeries poststructuralistes. Nous avons été patients mais la plaisanterie a assez duré. Contre le déconstructionnisme derridien et foucaldien, jetzt wollen wir den totalen Krieg !

(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)