Quand
Heidegger souffrait de constipation conceptuelle opiniâtre, il rendait
des vents très fétides, d'après Hannah Arendt. Or justement, Hippocrate
dit que si le malade rend des vents très fétides, il doit se servir d'un
suppositoire ou de lavements jusqu'à ce que les excréments soient
descendus dans les intestins inférieurs. Et bien sûr, boire de l'oxymel.
Pourquoi Heidegger ne le faisait-il pas ? Mystère.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)