Il est sans doute
vrai, comme le soutenait l'écrivain antiphysique Jouhandeau, que « beaucoup de suicides ne sont dus qu'à une minute de lucidité ». Mais que
dire de ce long suicide dilué qu'est la vie de l'homme du nihil ? Quand
la minute de lucidité se prolonge, on est paralysé. — Terrible !
(Fernand Delaunay, Glomérules)