Puisque
« philosopher, c'est mourir », on aimerait conseiller à l'autrui
lévinassien, ce fâcheux qui prend toute la place avec ses gros genoux,
de lire du Maritain ou du Merleau-Ponty et, oui, de mourir.
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)