L'écrivain
vénézuélien José Antonio Ramos Sucre se suicide en 1930 à Genève, où il
occupe la fonction de consul, en se dissolvant dans une tasse de rhum
Carupano. Il laisse trois recueils de poëmes ainsi qu'une centaine
d'aphorismes aussi désespérés que lui et ce n'est pas peu dire.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)