Les auteurs
japonais de haïkus semblent nourrir une fascination morbide pour le
prunier. Un exemple entre mille, ce poëme de Buson : « En tombant dans
l'eau, les pétaux disparaissent : prunier sur la rive. » — L'étrangeté
de cela et du monde en général.
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)