Lucien
Rebatet avait peur de terminer en Brasillach, mais heureusement pour
lui, il avait encore quelques réserves et il parvint à terminer en
Cousteau (comme ce dernier, il fut gracié par Vincent Auriol après avoir
passé quelques années à Fresnes puis à Clairvaux).
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)