Même
quand on est une personne « nihilique », il faut beaucoup de bonne volonté
pour tomber amoureux de la mort. Elle n'a pas d'affriolants « biberons
Robert ». Elle n'est pas callipyge. La mort n'est pas un tendron. C'est
une vieille couasse déplumée.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)