Jeune femme lisant les Scènes de la vie de Heidegger de Jean-René Vif
Les Scènes de la vie de Heidegger sont
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Le gendarme : « Alors, mon petit père ? Il paraît qu'on est un homme solitaire, en quête de soi-même, ardent à deviner le secret de sa propre charade ?
L'homme du nihil : Ça se peut. Et alors ? C'est interdit ?
Le gendarme : Et à part ça, qu'est-ce qu'on fait dans la vie ?
L'homme du nihil : Ce ne sont pas vos oignons, mais je vous le dis quand même : je dénombre au jour le jour les vicissitudes lassantes et monotones de mon néant.
Le gendarme : C'est bon. Je ferme les yeux pour cette fois. Mais n'y reviens pas. »
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
L'excrément ressemble au Léviathan de qui une nageoire ou quelques écailles émergent seules des flots : la matière en est trop compacte pour que le regard puisse l'interpréter, et il en résulte une impression d'irréalité.
(Luc Pulflop, Prière d'incinérer. Dégoût)
Jeune fille lisant la Mathématique du néant de Włodzisław Szczur
Les théorèmes, axiomes et autres lemmes vous font caguer ?
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La pente naturelle du Dasein l'amène à mettre tôt ou tard sa vie en miettes. Peut-être se figure-t-il inconsciemment qu'en devenant un « débris », il fera taire le « mugissement du vide » dans son conscient intérieur ? — Ô vanité ! ô néant ! « ô aueuglement estrange des hommes ! »
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
Frappé d'hydropisie existentielle, j'eus recours à ce purgatif inhumain, médiéval : l'idéalisme fichtéen.
(Luc Pulflop, Prière d'incinérer. Dégoût)