mardi 19 mars 2019

Interlude

Jeune femme lisant les Pensées rancies et cramoisies de J. Zimmerschmühl

Contre la psychanalyse


Gragerfis appelle les psychanalystes « une triste engeance ». Selon lui, tout est bon à ces « scélérats » pour substituer le pathologique au tragique. Ainsi, la psychanalyse étudie l'homme du nihil comme s'il était mû par son inconscient, conditionné par son passé vécu, alors qu'il est aux prises avec le pachynihil ! « Voilà qui est tout de même, déclare l'acide Stylus, un peu fort de café ! »

(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)

Soupe au lait


Les suicidés philosophiques, à l'instar des dérivés nitrés du phénol, détonent quand on les chauffe brusquement.

(Luc Pulflop, Prière d'incinérer. Dégoût)

Interlude

Jeune femme lisant Georges Sim et le Dasein de Maurice Cucq

Causalité synergique


Non seulement le suicidé philosophique, à l'instar d'un Némésius d'Émèse, reprend la theoria porphyrienne de l'interaction entre intelligible et sensible appliquée à l'action nihilique, mais il intègre les analyses de Simplicius et de Jean Philopon sur les processus de causalité synergique !

(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)