Albert
Cohen prétend que Marguerite Urcelar ne pouvait écrire que « complètement brindezingue » ; que pour composer son Œuvre au noir, elle
avait dû descendre « un nombre effarant de cubis ». Et il faut avouer que
la romancière a dans le regard quelque chose de torve, une expression
oblique et sournoise caractéristique des adorateurs de Bacchus.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)