Le
nihilique ne connaît personne et personne ne le connaît. À son estime,
ce n'est pas plus mal. Ainsi, il n'a pas besoin de faire « jore » qu'il
est comme ci ou comme ça. Il peut rester indéterminé tout son saoul,
comme il sied à quelqu'un que l'être n'a jamais emballé.
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)