L'homme du nihil ressent douloureusement l'une des lois
fondamentales du langage, celle de l'arbitraire du signe. Ainsi, la
fascination qu'il éprouve pour le vocable reginglette se double d'une
horreur plus grande encore, car il sait que derrière ces quelques
syllabes se cache le redoutable pachynihil.
(Lucien Pellepan, Énantioses profectives)