S'il
faut en croire Gragerfis, Jean-Paul Sartre resta pendant trois ans —
de 1980 à 1983 — sans prononcer une parole. Dans son Journal,
Gragerfis explique cette débauche de silence par le fait que le
philosophe était, comme on dit, « décédé ». Et il en conclut que le « décès » a parfois du bon.
(Fernand Delaunay, Glomérules)