« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
lundi 1 avril 2019
Dissolution du Dasein
S'il est vrai, comme le pensent les Hindous, que tout s'entremêle dans un chaos inextricable d'apparences, d'où nul ordre n'émerge, alors il ne reste plus au Dasein qu'à se dissoudre dans ce chaos, en une sorte de « régicide fluide du mésomorphe phasitron ».
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
Fertile Cochinchine
2 avril. — Malte-Brun dit que la production du riz est plus abondante en Cochinchine que partout ailleurs ; il ajoute : « On y trouve encore du maïs, du millet, plusieurs espèces de pois et de citrouilles, tous les fruits de l'Inde et de la Chine. »
(Barzelus Foukizarian, Journal ontologique critique)
Le cri déchirant du Dasein
Si le cri de l'homme est radicalement différent des voix de la nature, c'est qu'il provient d'un être qui, ayant lu Gabriel Marcel, a pris conscience de sa finitude et ressent toute l'horreur de l'haeccéité.
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
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