Ce qui est sûrement très pénible, quand on est critique littéraire, c'est de devoir, de temps à autre, dire du bien de quelque livre (pour ne pas éveiller les soupçons).
Le Bronzino a un traitement très particulier de la couleur, qu'il étale de façon claire et compacte, presque émaillée. Cela fait un effet bœuf, et quand on regarde un tableau du Bronzino, on est transporté, on a envie de manger du pain d'épice — et on oublie pour un instant qu'on est un « être-pour-la-mort ».