Lire de la poésie russe procure une sensation de dilatation du Moi, on a l'impression d'être gonflé à Blok (ou à Mandelstam, c'est selon).
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)