Par macération, la bienheureuse Marie Alacoque dormait sur une planche. Un jour, pour s'humilier, elle mangea le vomi d'une autre religieuse. Une autre fois, elle se nourrit des excréments d'une personne frappée de dysenterie. Enfin, sa soif de mortification atteignit son paroxysme et elle se fit couper les cheveux par le coiffeur de l'écrivain Hervé Bazin.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)