Par macération, la bienheureuse Marie Alacoque dormait sur une planche. Un jour, pour s'humilier, elle mangea le vomi d'une autre religieuse. Une autre fois, elle se nourrit des excréments d'une personne frappée de dysenterie. Enfin, sa soif de mortification atteignit son paroxysme et elle se fit couper les cheveux par le coiffeur de l'écrivain Hervé Bazin.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
Coiffeur ou perruquier peu bavard ? Je me suis toujours demandé.
RépondreSupprimerJ'ai eu pour médecin son exact homonyme. Mais cet Hervé Bazin-là était coiffé comme Jean-Pierre Elkabbach (ce qui semble moins mortifère... enfin je crois).
RépondreSupprimerTout de même, cela devait être effrayant.
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