« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
mardi 16 avril 2019
Interlude
Pourquoi attendre davantage ? Soyez vous aussi un homme
(ou une femme) dans le vent ! Lisez l'Appel du nihil ! Vous
pouvez commander cet opus ici pour la modique somme de
5,50 €. L'œuvre de Martial Pollosson est souveraine contre
les rhumatismes et les hémorroïdes !
C'est une solution JEUNE, brevetée SGDG !
Affliction
À l'instar de l'Ecclésiaste, le suicidé philosophique considère que le monde extérieur n'est que néant et vanité : « Que l'on résiste ou que l'on cède à notre environnement, tel un cheval nous galopons vers la fin. N'est-ce pas vraiment affligeant ? Les gens prétendent que l'immortalité existe, mais à quoi peut-elle bien servir ? Le corps se décompose, et avec lui l'esprit. N'est-ce pas la chose la plus affligeante ? » (Songeries néantiques, p. 59)
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
Fadeur de l'existence
Je cherche des terreurs nouvelles, des vertiges plus larges, des angoisses inéprouvées.
(Luc Pulflop, Prière d'incinérer. Dégoût)
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