Ô
Char ! René Char ! Quelle chance tu as d'être comme cela s'appelle
décédé ! Avec quelle joie, sans cela, nous autres amateurs de vraie
poésie t'aurions plongé dans un chaudron d'huile bouillante !
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)