En juin 1925,
à Alger, Paul Valéry reçoit un coup de pied de cheval. Le « héros
intellectuel national » en conçoit un vif dépit et en éprouve une
cuisante douleur dans les parties sacrées. D'après la princesse de
Polignac, il ne décolérait pas. « Me faire ça à moi, qui ai consacré la
majeure partie de mon existence à la vie de l'esprit ! »
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)