Rendu
terne par un long séjour dans le Rien, le nihilique prend mal la
lumière. Il est « comme un paillasson dans l'ombre d'un escalier ». Et ce
n'est pas tout : son âme est malade. Le printemps était trop vert, elle a
mangé trop de salade.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)