Le
matin, pour être prêt à assurer l'interaction forte durant le reste de
la journée, le gluon ingurgite de grandes quantités de feuilles de
salade ainsi que des cerneaux de noix (riches en lipides et en fibres).
C'est Louis Leprince-Ringuet qui le dit, dans son ouvrage Des atomes et
des hommes.
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)