« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
lundi 8 avril 2019
Le pachynihil contre les robots
À vivre parmi des machines, nous nous habituons à une certaine mentalité, dite « objective » : aspirés au dehors, écartés de nous-mêmes, nous nous trouvons affrontés à une logique à laquelle, jusque dans nos révoltes, nous devons nous soumettre. Heureusement, Pulflop a montré expérimentalement que cette « logique des cupulifères » ne résistait pas à l'action corrosive du pachynihil.
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
Un « douteux »
L'homme du nihil ne cesse de se dire partagé, errant, en quête d'une vérité qui le fuit. Les certitudes l'étonnent, lui paraissent suspectes et ne lui font guère envie : « ma nature... manque de certitude », avoue-t-il à Charlotte Dufrêne, sa « gouvernante » (Gragerfis), avant de tout miser sur le double zéro.
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
Ivresse du « décédé »
Libre de tout viscère, exempt de tout Moi, rivaliser avec le Grand Indéfini d'Anaximandre.
(Luc Pulflop, Prière d'incinérer. Dégoût)
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