À
cause de son intranquillité, de son crâne en pain de sucre et de son
teint blafard, Fernando Pessoa — Ô roues, ô engrenages, r-r-r-r-r-r-r
éternel ! Violent spasme retenu des mécanismes en furie ! — était
surnommé « tête de nave » par les habitués du café Martinho da Arcada. Il
essayait de faire mine de rien mais cela le courrouçait et le rendait
encore plus intranquille.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)