À
son propre dire, le poëte suisse Francis Giauque était prisonnier d'un
atroce anneau de tristesse. Et non seulement ça, mais cet anneau
flambait autour de sa chair crispée. Finalement, arrivé au bout de son
rouleau, il se suicida.
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)