Il
y a en ce monde tant de fausses valeurs qu'on ne sait par où commencer
quand, comme le nihilique, on a pour vocation de conchier. Arthur
Rimbaud ? René Char ? Louis Aragon ? Le « plasticien » Christo ?
Le
nihilique a parfois la désagréable sensation de ressembler à une « œuvre » du « plasticien » Christo. Il se trouve idiot, niais — un
véritable empaqueté.
Le
nihilique ne sait rien de plus ridicule que le terme Costaricien pour
désigner un habitant du Costa Rica — à part peut-être les « œuvres » du « plasticien » Christo.
Quand
on était jeune, on aimait bien les petits pois. Mais maintenant qu'on
s'est pénétré de l'inanité de toute chose, on ne voit plus, dans l'acte
de manger des petits pois, qu'une gesticulation solitaire et funèbre
au-dessus du néant — comme sont aussi, dans un autre genre, les « œuvres » du « plasticien » Christo.