Dans un de ses poëmes, Longfellow parle du « long et mystérieux exode de la mort ». Mais — car il y a un mais — cela ne s'applique pas au poëte Carlos Grünberg. En effet, la mort ne l'a pas totalement englouti puisque ses vers sont dans notre mémoire. En tout cas ils y étaient jusqu'à récemment.
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)
