« Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, ou comme cestuy-là qui conquit la toison...
— Non.
— Comment ça, non ?
— Ce sont deux poëmes différents. Tu yoyotes.
— Comment ça, deux poëmes différents ?
— L'un est d'Alfred de Musset, l'autre de Joachim du Bellay.
— Eh bien ça alors ! Ça me la coupe ! Bon diousse de bon diousse !
— Eh oui. C'est peut-être triste mais c'est ainsi. »
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)