Parlant
de l'Un plotinien, Jamblique dit (De Myst., 4, VIII, 2) qu'il « demeure
immobile dans la solitude de son éternelle unité ». Mais on pourrait en
dire autant de la ville de Bezons — où on se fait chier à un point que
ce n'est pas croyable.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)
En plus c'est trompeur comme formule. On croit qu'on a affaire à un impératif présent à la première personne du pluriel. Bezons un coup, bezons-en deux ! On croit que ça va donner un petit coup de fouet.
RépondreSupprimerOr, il n'en est rien, probablement.
On doit s'y sentir aussi seul qu'ailleurs.
Nous n'avions jamais pensé à cela.
SupprimerLes plus brudents diront : bezons le bour et le gontre.
SupprimerLe bour ? Intéressant.
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