Quand
on demande au nihilique pourquoi il croit que rien n'est, il répond que
d'une part, telle est sa fantaisie, et que d'autre part, s'il croyait à
l'être, il risquerait de se retrouver à écouter du Michel Petrucciani
par une nuit d'été et ce serait quelque peu « malaisant » (il ne précise
pas pourquoi).
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)