Pour un peintre de la Renaissance, le comble de l'opprobre était de se faire enguirlander par le Ghirlandaio. Mais y échapper n'était pas facile, car pour un rien il vous accusait de « gâcher les pigments ». Et c'était parti : cretino, bastardo, coglione, testa di cazzo... Il avait du vocabulaire, le Ghirlandaio.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
Et s'il passait chez vous à la Noël et qu'il remarquait la piètre décoration de votre sapin il le prenait personnellement. Enfin d'après Élie Faure.
RépondreSupprimerÉlie Faure... Il y aurait peut-être là quelque chose...
SupprimerAppris aujourd'hui grâce à vous l'expression « testa di cazzo » ; reconnaissance absolue.
RépondreSupprimerOui, ça peut toujours servir.
Supprimer