« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
mardi 1 avril 2025
Banquet d'écrivains catholiques
Voyons voir... Du kabanos pour Bernanos, de la mortadelle pour Claudel, une saucisse de l'Aubrac pour Mauriac, et pour Péguy... peut-être des rillauds ?... Ou du salami, tiens.
Puisque vous évoquez la charcuterie Claudel... j'avais lu quelque part que la dernière phrase de Claudel, prononcée juste avant de mourir, était : "Docteur, vous pensez que c'était la saucisse ?", et je trouvais ça désopilant (chaque fois que ces mots me revenaient je riais et même au milieu de la rue). Hélas j'ai découvert plus tard que c'était une phrase apocryphe (une petite vengeance d'un "adversaire littéraire" son cadavre à peine refroidi). Par contre il a bien dit (car cette fois c'est avéré) : "Avec le saucisson à l'ail, on se sent moins seul." Quel style !
Puisque vous évoquez la charcuterie Claudel... j'avais lu quelque part que la dernière phrase de Claudel, prononcée juste avant de mourir, était : "Docteur, vous pensez que c'était la saucisse ?", et je trouvais ça désopilant (chaque fois que ces mots me revenaient je riais et même au milieu de la rue). Hélas j'ai découvert plus tard que c'était une phrase apocryphe (une petite vengeance d'un "adversaire littéraire" son cadavre à peine refroidi).
RépondreSupprimerPar contre il a bien dit (car cette fois c'est avéré) : "Avec le saucisson à l'ail, on se sent moins seul." Quel style !
Oui, celle du saucisson à l'ail est excellente. Il faut reconnaître qu'avec Claudel, on ne s'embête pas.
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