Si Eric Blair changea son nom en George Orwell, c'est parce qu'il avait peur qu'on fît des « astuces nasales » à son propos, telles que « Blair ne voit pas plus loin que le bout de son nez » ou « On peut dire qu'il a eu le nez creux, ce Blair. ». Cela étant dit, il est notoire que Blair — ou Orwell — avait Staline, Beria et toute la clique « dans le pif », comme on peut le constater en lisant La Ferme des animaux.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
N'empêche, il s'est arrangé pour être connu dans le monde entier (ciel, mon dentier), sans craindre qu'on avance des choses comme "celui-ci ne mâche pas ses mots, contre qui a-t-il une dent ?"...
RépondreSupprimerOui, il savait nager, le copain.
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