Le
compositeur allemand Jean-Sébastien Bach peut être considéré comme un
précurseur de l'homme du nihil. Primo, il a composé une cantate
intitulée Ich habe genug — titre que l'on pourrait traduire par : « J'en ai assez et plus qu'assez du fétide et rébarbatif réel » ; deuzio,
cette cantate se termine par l'aria Ich freue mich auf meinen Tod, ce
qui, traduit de l'allemand, donne : « D'avance, je me réjouis de ma mort
par ingestion de taupicide ».
(Fernand Delaunay, Glomérules)