Les
pots de pisse tels que ce Falorni qui parlent de « transcender les
clivages », nous allons les enfermer dans un réceptacle, tout le corps
sauf la tête, les mains et les pieds, puis les nourrir de lait, de miel
et de choux-fleurs à la merde. Les insectes friands de déchets ne
tarderont pas à proliférer autour et à l'intérieur de ces scélérats. La
prochaine fois (s'il y a une prochaine fois), il diront : « surmonter les
désaccords ».
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)