Sans
se prendre pour le poëte Fernando Pessoa — « Ô roues, ô engrenages,
r-r-r-r-r-r-r éternel ! Violent spasme retenu des mécanismes en
furie ! » —, on sent confusément que la tristesse est comme le pain
d'épice, mais on est incapable d'expliquer pourquoi. La spongiosité,
peut-être ? La bourrativité ?
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)