Les
gens heureux n'ont aucune pudeur. Ils mériteraient le supplice du pal.
Comment peut-on être heureux quand on sait ce qu'on sait et qu'on voit
ce qu'on voit ? Ils n'ont pas lu la lettre de Biélinski, ces salops ? Le
pal ! De suite ! Je vais t'apprendre à être heureux, moi, tuouaouar !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Horribles seventies, désespérantes eighties...
RépondreSupprimerOui. Il est un fait que ç'a été dur.
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