mardi 21 mars 2023

Gingerbread sadness

 

Sans se prendre pour le poëte Fernando Pessoa — « Ô roues, ô engrenages, r-r-r-r-r-r-r éternel ! Violent spasme retenu des mécanismes en furie ! » —, on sent confusément que la tristesse est comme le pain d'épice, mais on est incapable d'expliquer pourquoi. La spongiosité, peut-être ? La bourrativité ?
 
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)

2 commentaires:

  1. Et encore, ces morceaux de pain d'épice ne sont pas "jointés" les uns aux autres. Sinon, on ne pouvait plus s'en sortir. On aurait un genre de carrelage bien plombant.

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